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Nous nous appuyons sur notre connaissance du fonctionnement des collectivités et des problématiques environnementales qui leur sont propres pour aider chaque acteur d’un territoire à s’engager dans une démarche de transition écologique ambitieuse et réussie.
Le Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) est un outil de planification de la transition écologique et énergétique d’un territoire. Il est fondé sur 5 axes forts :
Le Plan Climat Air Energie Territorial est un outil à la fois stratégique et opérationnel. Véritablement transversal, il représente l’opportunité d’irriguer le développement économique et social du territoire.
Un des enjeux de la mission est la mobilisation des parties prenantes du territoire (collectivité, élus, partenaires, acteurs économiques, habitants).
L’élaboration d’un PCAET permet de :
Démarche obligatoire pour les EPCI de plus de 20 000 habitants, le PCAET peut également être saisi de façon volontaire pour planifier la transition de son territoire dans une logique de coopération multi-acteurs.
Les étapes de la démarche :
Quels sont les facteurs de réussite dans l’élaboration d’un PCAET ?
Pour vous accompagner au mieux, BL évolution peut s’appuyer sur :
Le plan d’adaptation au changement climatique constitue la pierre angulaire d’une démarche de réduction de la vulnérabilité climatique de son territoire.
L’action “climat” repose en effet sur deux piliers : l’atténuation (réduction des émissions de gaz à effet de serre) et l’adaptation (évaluation et anticipation des risques climatiques posés par le dérèglement climatique).
Malgré les efforts d’atténuation réalisés à toutes les échelles, les conséquences des dérèglements du climat se ressentent déjà localement : canicules, sécheresses agricoles, comportements touristiques changeants, stress sur les ressources en eau, etc. Du fait de l’inertie du système climatique terrestre et de la durée de vie des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, ces conséquences vont s’accentuer en fréquence et en intensité dans les décennies à venir.
Adapter son territoire à ces dérèglements climatiques nécessite de :
Nous avons identifié plusieurs facteurs clés de réussite qui guident la démarche du plan d’adaptation :
Choisir BL évolution c’est bénéficier de :
Démarche volontaire, le Schéma Directeur des Energies (SDE) se situe au croisement des exercices de stratégie énergétique, de planification territoriale et de programmation opérationnelle. Cet exercice permettra à votre collectivité d’interroger l’adéquation entre ses ambitions de transition énergétique et les leviers d’actions, ressources et moyens disponible sur votre territoire.
Les évolutions législatives favorisent aujourd’hui le rôle des collectivités territoriales dans la transition énergétique. Citons par exemple la mise en place des plans climat, les transferts de compétences sur l’énergie ou encore la possibilité d’investir directement dans les projets de production d’EnR.
De plus, beaucoup de collectivités sont aujourd’hui sollicitées par des porteurs de projet d’énergie renouvelable régulièrement et manquent d’outils d’arbitrage et d’accompagnement.
Dans ce contexte, le schéma directeur des énergies peut vous permettre de créer une vision commune et cohérente du développement de ces projets sur votre territoire.
Cette démarche vous permettra de guider vos choix stratégiques concernant la transition énergétique que vous souhaitez opérer afin d’aller vers une plus grande indépendance énergétique, une décarbonation de votre approvisionnement et le développement de filières locales et durables.
Un Schéma Directeur des Energies consiste en une :
Pour vous accompagner au mieux, BL évolution s’appuie sur :
Schéma directeur des Energies : Laval Agglomération
Autres études énergie renouvelable : Bilan de la production locale d’énergie renouvelable et de récupération et potentiel mobilisable d’ici 2030 – La Ville de Paris
La budgétisation environnementale – également appelée budget vert – est l’analyse des dépenses de la collectivité, aussi bien sur la section de fonctionnement que sur les investissements, au regard des objectifs de réduction des émissions de GES et d’autres critères environnementaux définis dans le cadre de la taxonomie européenne pour une finance verte :
Ce travail permet de nourrir les travaux d’élaboration des budgets et de questionner les dépenses pour les orienter le plus possible vers la transition écologique.
La budgétisation environnementale permet de :
Le Bilan des émissions de gaz à effet de serre pour les collectivités vise à évaluer les émissions dues à leur patrimoine et à l’exercice de leurs compétences, en vue d’identifier et de mobiliser des leviers de réduction de ces émissions.
Cela peut être en réponse à une réglementation (c’est une obligation pour les collectivités de plus de 50 000 habitants) ou être une démarche volontaire visant à réduire son impact direct sur le dérèglement climatique.
Les étapes de la démarche du bilan carbone sont :
Le BEGES est un préalable incontournable pour permettre à la collectivité de se fixer des objectifs de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre, et de suivre l’évolution de son empreinte carbone.
Un des enjeux de la mission est la mobilisation des différentes directions techniques de la collectivité et leur appropriation des enjeux énergie-climat et du plan d’action.
Choisir BL évolution c’est bénéficier de :
Pour l’évaluation à mi-parcours et l’évaluation finale du PCAET, il s’agit de s’appuyer sur les indicateurs et objectifs définis lors de l’élaboration du PCAET. C’est une étape de bilan visant à analyser les atouts et axes d’amélioration du PCAET à laquelle il convient d’associer les partenaires et porteurs d’actions autres que la collectivité.
La première étape consiste à sélectionner les indicateurs pertinents et à en collecter les valeurs. L’analyse croisée entre les indicateurs de mise en œuvre opérationnelle (exemple : nombre de formations organisées), les indicateurs d’effet et d’impact final (exemple : nombre de logements rénovés et économies d’énergies du secteur résidentiel) permet d’évaluer l’efficacité et l’efficience des actions.
Le bilan des moyens humains et financiers affectés par la collectivité et l’ensemble des partenaires est réalisé. C’est également l’occasion d’identifier les freins et leviers (gouvernance, suivi, communication, moyens humain et financiers…) à la mise en œuvre effective du PCAET avec toutes les parties prenantes.
Cette démarche permet enfin à la collectivité de mettre en avant les actions réalisées et leurs impacts, de renforcer les moyens sur des actions engagées et de réajuster les modalités de mise en œuvre.
Choisir BL évolution c’est bénéficier de :
Clermont Auvergne Métropole : évaluation et actualisation du Schéma de transition écologique et énergétique (STEE) valant PCAET
Grand Paris Sud Est Avenir : évaluation à mi-parcours du PCAET
Paris Terre d’Envol : évaluation à mi-parcours du PCAET
EuroMétropole de Strasbourg : quantification de l’impact des actions et suivi de des trajectoires climat, interne et territoriale
Ville d’Avignon : Suivi du plan local pour le climat et évaluation de l’impact des actions
Dans le contexte de la nécessaire transition énergétique et du dérèglement climatique, les territoires ont un rôle important à jouer pour planifier sur le long terme la transformation des modes de vie locaux. De nombreuses démarches comme le PCAET ont pour objectif d’outiller les collectivités dans cette planification. Mais cette action climatique doit s’appliquer à toutes les politiques publiques : habitat, mobilité, agriculture… et urbanisme.
L’aménagement du territoire et l’urbanisme vont jouer un rôle déterminant dans l’atteinte d’une sobriété collective : les PLUi permettent de planifier la sobriété foncière, la sobriété énergétique du bâtiment, et d’organiser les communes et territoires autour de besoins de mobilité sobres. De plus, un urbanisme résilient et circulaire va permettre de véritablement transformer le territoire pour qu’il puisse faire face aux aléas climatiques et qu’il développe ses propres ressources locales, avec une articulation ville-campagne.
Le bâtiment est au cœur de la transition écologique, il est à la fois un levier d’atténuation du changement climatique puisqu’il représente 23% des émissions de gaz à effet de serre françaises) et à la fois un levier d’adaptation dans une perspective de transformer les bâtiments en refuges face aux évènements climatiques extrêmes.
Comprendre les multiples enjeux de son patrimoine et planifier sa gestion permet à la collectivité de faire des choix éclairés et adaptés à ses propres vulnérabilités.
Cette prestation est constituée généralement des réalisations suivantes :
Dans la vision de l’écoconstruction portée par BL évolution, les SDIE sont des outils clés pour faciliter la transition écologique et énergétique des collectivités. Nous adoptons en effet, une approche pragmatique : isoler si nécessaire, mais avant tout réfléchir à ce qui apporte du confort thermique aux occupants. Car ni l’isolation thermique, ni le changement de système de chauffage, ne sont une fin en soi. Face à l’amplification des évènement extrêmes et des variations brusques de températures, l’approche de la rénovation thermique par l’enveloppement et par les systèmes de chauffage centralisés se révèle de moins en moins judicieuse.
Notre priorité est l’identification des enjeux critiques de votre patrimoine et l’adaptation de celui-ci grâce à des rénovations ciblées, des changements d’usages et l’accompagnement aux changements de comportements.
Le changement climatique et l’érosion des ressources naturelles obligent les collectivités à répondre autrement aux impacts et aux tendances lourdes dont il est le multiplicateur. La multiplication des crises soudaines comme les inondations, les ruptures d’approvisionnements en ressources ou des vagues de chaleur intenses, révèlent des vulnérabilités qui peuvent être traitée en analysant le système territorial comme un tout qui explique les forces et faiblesses de la collectivité.
La résilience territoriale est le résultat d’un processus d’observation et d’amélioration du système territorial, aussi bien sur la gouvernance, que sur les consommations ou les outils de planifications, pour répondre à des crises identifiées par la collectivité.
La stratégie de résilience a pour objectif de :
Cette stratégie d’adaptation repose sur :
Dans le contexte d’aléas climatiques inédits et de plus en plus forts, il devient difficile, à l’échelle individuelle comme collective, de se projeter. La mise en récit de scénarios prospectifs consiste à :
Rendre crédibles les futurs imaginés. La mise en récit intègre bien sûr une part de fiction, mais celle-ci répond à des enjeux bien actuels, vécus sur le territoire. Il est donc important, pour créer un sentiment de confiance, de rendre visibles les certitudes et incertitudes. BL évolution a pour cela créé une jauge de confiance.